Vivre à Yuma : Entre Tradition et Modernité


Située dans le sud-ouest des États-Unis, Yuma est une ville emblématique de l’Arizona, imprégnée d’histoire et de culture. Avec une population d’environ 100 000 habitants, Yuma offre un mélange unique de traditions anciennes et de modernité flamboyante, créant ainsi un cadre de vie riche et diversifié pour ses résidents. Dans ce texte, nous allons explorer les différents aspects de la vie à Yuma, de son climat ensoleillé à sa scène culturelle animée en passant par ses opportunités économiques florissantes.

Tout d’abord, le climat de Yuma est l’un de ses aspects les plus remarquables. Surnommée « The Sunniest City in the World » en raison de ses plus de 300 jours d’ensoleillement par an, Yuma bénéficie d’un climat désertique chaud caractérisé par des étés torrides et des hivers doux. Cette météo clémente attire de nombreux résidents en quête de conditions de vie agréables tout au long de l’année, ce qui en fait une destination prisée pour les retraités et les amateurs d’activités de plein air.

En parlant d’activités de plein air, Yuma offre une multitude d’options pour ceux qui aiment explorer la nature. Le fleuve Colorado, qui traverse la ville, est un lieu de prédilection pour les amateurs de sports nautiques tels que le kayak et le canoë. De plus, les parcs nationaux à proximité, tels que le parc national de Joshua Tree et le parc national de Grand Canyon, offrent d’innombrables possibilités d’aventures en plein air, de la randonnée à l’escalade en passant par le camping. Pour les passionnés de golf, Yuma compte également plusieurs terrains de golf bien entretenus, où l’on peut pratiquer ce sport dans un cadre pittoresque.

En ce qui concerne la culture, Yuma regorge de trésors historiques et artistiques. La ville abrite plusieurs musées fascinants, dont le musée de Yuma Territorial Prison, qui offre un aperçu captivant de l’histoire pionnière de la région. De plus, Yuma accueille chaque année de nombreux festivals et événements culturels, mettant en valeur la richesse et la diversité de sa communauté. Parmi ces événements, le festival annuel de l’agriculture de Yuma est particulièrement populaire, célébrant l’importance de l’agriculture dans la région et mettant en lumière les produits locaux et les traditions culinaires.

Sur le plan économique, Yuma jouit d’une position stratégique en tant que plaque tournante régionale du commerce et de l’agriculture. La ville est connue pour sa production de légumes et de fruits frais toute l’année, ce qui en fait l’un des principaux fournisseurs de produits agricoles des États-Unis pendant les mois d’hiver. De plus, Yuma abrite une base aérienne importante, qui contribue à l’économie locale et offre des opportunités d’emploi dans le secteur de la défense. Avec un faible coût de la vie et un marché immobilier abordable, Yuma attire également de nombreux entrepreneurs et jeunes professionnels à la recherche de nouvelles opportunités.

Enfin, la communauté de Yuma est un aspect essentiel de la vie dans cette ville dynamique. Les habitants de Yuma sont connus pour leur hospitalité et leur esprit de solidarité, ce qui crée un sentiment de camaraderie et d’appartenance parmi les résidents. De nombreuses organisations communautaires et associations caritatives œuvrent pour soutenir les plus démunis et renforcer les liens sociaux au sein de la ville, témoignant de l’engagement de la communauté envers le bien-être de ses membres.

En conclusion, vivre à Yuma est une expérience à la fois enrichissante et stimulante. Entre son climat ensoleillé, sa scène culturelle dynamique, ses opportunités économiques florissantes et sa communauté accueillante, Yuma offre un cadre de vie idéal pour ceux qui recherchent un équilibre entre tradition et modernité dans le magnifique désert de l’Arizona. Que ce soit pour profiter des activités de plein air, découvrir l’histoire fascinante de la région ou s’impliquer dans la vie communautaire, Yuma a de quoi satisfaire toutes les aspirations et offrir un foyer chaleureux à ceux qui choisissent d’y vivre.



Tactiques aériennes: Comment les pilotes interceptent les avions ennemis


L’art du combat aérien a considérablement évolué depuis la création des avions de chasse au début du XXe siècle. Les pilotes d’avions de chasse modernes utilisent un éventail de tactiques et de technologies sophistiquées pour intercepter les avions ennemis, une tâche qui exige des compétences exceptionnelles, une réflexion stratégique et une compréhension approfondie de la guerre aérienne. Cet essai examine les principales techniques utilisées par les pilotes de chasse pour intercepter les avions adverses.

L’étape initiale d’une interception réussie commence bien avant le contact réel avec l’avion ennemi. Les pilotes doivent avoir une connaissance approfondie de leurs objectifs, des capacités et des limites de l’aéronef, ainsi que des techniques probables de leurs concurrents. La connaissance de la situation est renforcée par une avionique et des capteurs innovants qui fournissent des informations en temps réel sur l’espace aérien environnant, les conditions climatiques et les menaces potentielles.

Les avions de combat modernes sont souvent équipés d’une technologie permettant de réduire la section de passage de leur radar, ce qui renforce leurs capacités de furtivité. Les pilotes d’avion exploitent cet avantage pour adopter une stratégie à l’égard de l’ennemi sans se faire repérer. En maintenant un profil bas, ils peuvent s’approcher de la distance de frappe sans alerter l’adversaire, ce qui leur donne un avantage tactique.

Les radars et autres capteurs embarqués sont des ressources essentielles pour repérer et surveiller les aéronefs ennemis. Les pilotes doivent être capables d’interpréter les signatures radar et de comprendre les limites des capteurs dans différentes conditions. Les systèmes de recherche et de poursuite infrarouge (IRST) sont également utilisés pour la reconnaissance passive, ce qui est essentiel pour éviter la découverte des radars par l’ennemi.

Dans les combats aériens, la gestion de l’énergie, c’est-à-dire le maintien d’une harmonie optimale entre l’altitude, la vitesse et la manœuvrabilité, est vitale. Les manœuvres à grande vitesse peuvent entraîner une perte d’énergie (vitesse et altitude) et rendre l’aéronef vulnérable. Les pilotes doivent constamment examiner l’état de leur énergie par rapport à celle de leur adversaire afin de conserver un avantage tactique.

Les combats aériens modernes commencent généralement au-delà de la portée visuelle (BVR), lorsque les pilotes d’avion engagent l’ennemi avec des missiles à longue portée avant que ceux-ci ne soient visuellement détectables. La maîtrise des techniques BVR nécessite une connaissance des capacités des différents systèmes de missiles, Sukhoi Su-33 FlankerD une utilisation efficace des contre-mesures électroniques numériques et la capacité de faire des choix rapides sur la base d’informations limitées.

Malgré les progrès réalisés dans le domaine des armes à longue portée, la capacité à s’engager dans un combat rapproché, ou dogfighting, reste une compétence vitale. Il s’agit de manœuvres intenses, à grande vitesse, visant à surpasser l’ennemi et à créer l’opportunité d’un tir dégagé. Il ne s’agit pas seulement d’une question de force physique pour résister à des forces g substantielles, mais aussi d’une question de choix en une fraction de seconde.

Les objectifs d’interception sont rarement des projets solitaires. Ils nécessitent une coordination avec les autres aéronefs, le contrôle du sol et les systèmes d’alerte précoce. Une communication efficace est essentielle pour maintenir la formation, coordonner les épisodes ou se désengager si nécessaire. Les pilotes d’aéronefs doivent être expérimentés dans l’utilisation de canaux de communication sécurisés et comprendre pleinement l’importance d’une communication claire et précise dans des environnements sous haute tension.

La guerre électronique numérique joue un rôle essentiel dans les combats aériens modernes. Les pilotes d’aéronefs utilisent des contre-mesures électroniques pour perturber les radars et les techniques de communication de l’ennemi, ce qui rend difficile leur identification ou leur ciblage par l’adversaire. Le brouillage des radars ennemis ou la mise en place de leurres peuvent s’avérer cruciaux pour la réussite d’une interception.

La capacité d’un pilote de chasse à prendre des décisions rapides et précises dans des conditions de tension extrême est sans doute sa compétence la plus importante. Il s’agit d’évaluer rapidement l’évolution de la situation stratégique, de prévoir les mouvements de l’ennemi et de décider du plan d’action le plus efficace, souvent en l’espace de quelques secondes.

Savoir quand et comment se désengager est aussi important que de savoir comment s’engager. Parfois, la situation stratégique peut dicter un désengagement stratégique pour éviter des risques inutiles ou même pour attirer l’ennemi dans un piège. Les pilotes doivent être capables d’exécuter des manœuvres de désengagement sans diminuer leur posture de protection.

Immédiatement après une interception, les pilotes et leurs équipes participent à des débriefings approfondis afin d’analyser l’engagement. Cette méthode d’examen est cruciale pour comprendre quelles méthodes et techniques ont été couronnées de succès, ce qui pourrait être amélioré et comment se préparer à de futures expériences.

Enfin, le monde de la lutte aérienne est en constante évolution, avec l’apparition de nouvelles technologies et de nouvelles tactiques. Les pilotes de chasse doivent s’entraîner et s’adapter en permanence pour garder une longueur d’avance sur leurs adversaires. Il s’agit non seulement de s’entraîner physiquement et en vol, mais aussi de s’informer des progrès de la technologie aéronautique et des tactiques de l’ennemi.

En résumé, l’interception des avions ennemis par les pilotes de chasse est une tâche complexe et multiforme qui exige une combinaison de talent technique, de réflexion stratégique et d’endurance physique. Les tactiques utilisées vont de la furtivité et de l’effet de surprise au combat électronique innovant, chacune étant adaptée aux défis particuliers de la lutte aérienne. Au fur et à mesure que les technologies et les tactiques de guerre évoluent, les stratégies utilisées par les pilotes d’avions de chasse dans leur quête incessante pour garder le contrôle du ciel évoluent elles aussi.



Les Technologies Dystopiques Utilisées pour Contrôler les Travailleurs


Dans un monde en constante évolution, les avancées technologiques ont eu un impact considérable sur tous les aspects de la vie humaine, y compris le monde du travail. Cependant, avec ces avancées, nous avons également vu émerger des technologies dystopiques qui sont utilisées pour surveiller et contrôler les travailleurs. Ces technologies, bien que présentées comme des moyens d’améliorer la productivité et la sécurité, posent des questions fondamentales sur la vie privée, la liberté et la dignité des travailleurs. Dans cet essai, nous examinerons certaines de ces technologies dystopiques et leurs implications sur la vie professionnelle moderne.

I. La surveillance constante

L’une des technologies les plus préoccupantes utilisées pour contrôler les travailleurs est la surveillance constante. Les employeurs ont maintenant accès à une multitude de moyens pour surveiller leurs employés, allant des caméras de surveillance omniprésentes aux logiciels de suivi de la productivité. Par exemple, les travailleurs de certains entrepôts sont surveillés en permanence par des caméras, ce qui peut créer un climat de méfiance et d’angoisse au travail. De plus, les logiciels de suivi du temps de travail et de la productivité permettent aux employeurs de mesurer chaque action des employés, du temps passé sur une tâche à la vitesse à laquelle ils la terminent.

Cette surveillance constante a un impact significatif sur la vie des travailleurs. Elle crée un sentiment d’oppression et peut entraîner un stress accru. De plus, elle remet en question la notion de vie privée au travail, car les employés ont de moins en moins d’espace pour être eux-mêmes sans craindre d’être observés. Cette technologie dystopique crée une dynamique inégale entre employeurs et employés, renforçant le pouvoir des premiers au détriment des seconds.

II. Les algorithmes de gestion du personnel

Les algorithmes de gestion du personnel sont une autre technologie dystopique qui gagne en popularité. Ces algorithmes sont conçus pour prendre des décisions concernant l’embauche, la promotion, la rémunération et même le licenciement des travailleurs. Ils prétendent être objectifs, mais ils sont souvent basés sur des données historiques qui peuvent refléter des biais discriminatoires.

L’utilisation d’algorithmes pour gérer le personnel soulève des préoccupations majeures en matière de justice. Les décisions prises par ces systèmes sont souvent opaques, ce qui signifie que les employés ne comprennent pas pourquoi ils ont été choisis pour une promotion ou un licenciement. De plus, si les données historiques utilisées par ces algorithmes sont biaisées, cela peut entraîner des discriminations raciales, de genre ou d’autres formes de discrimination systémique.

III. Les implants et les puces électroniques

Une autre technologie dystopique qui suscite des inquiétudes est l’utilisation d’implants et de puces électroniques pour surveiller les travailleurs. Certains employeurs ont proposé l’implantation de puces sous-cutanées pour permettre aux employés de déverrouiller des portes, d’accéder à des ordinateurs et même de payer dans la cafétéria de l’entreprise. Bien que cela puisse sembler pratique, cela soulève des questions fondamentales sur la vie privée et le consentement.

L’implantation de puces électroniques dans le corps humain crée un précédent troublant. Elle pose des questions sur la propriété du corps et le consentement informé. De plus, elle ouvre la porte à des abus potentiels, car les employeurs pourraient utiliser ces puces pour surveiller les employés en dehors des heures de travail, empiétant ainsi sur leur vie privée de manière inacceptable.

IV. Les technologies de manipulation de l’attention

Les technologies de manipulation de l’attention sont de plus en plus utilisées pour contrôler les travailleurs. Les notifications constantes sur les smartphones, les courriels incessants et les applications de suivi du temps passées sur l’ordinateur peuvent créer un environnement de travail distrayant et stressant. Ces technologies sont conçues pour maintenir les travailleurs connectés en permanence, les empêchant ainsi de se détacher du travail.

L’impact de cette manipulation de l’attention est néfaste pour la santé mentale des travailleurs. Elle contribue au burn-out et à l’épuisement professionnel, car les travailleurs ont du mal à se déconnecter et à se ressourcer. De plus, elle crée une dépendance aux technologies et à la communication constante, ce qui peut nuire aux relations personnelles et à la qualité de vie.

V. La nécessité de réglementer les technologies dystopiques au travail

Face à ces technologies dystopiques utilisées pour contrôler les travailleurs, il est impératif que la société prenne des mesures pour protéger les droits des travailleurs. Les législations et les réglementations doivent être mises en place pour encadrer l’utilisation de ces technologies et garantir qu’elles ne portent pas atteinte à la vie privée et à la dignité des employés.

De plus, il est essentiel de promouvoir une culture du respect de la vie privée au travail. Les employeurs doivent être tenus de respecter les limites de la vie privée des travailleurs et de s’abstenir de toute forme de surveillance abusive. Les travailleurs devraient également être informés de leurs droits en matière de vie privée et encouragés à signaler toute violation.

En conclusion, les technologies dystopiques utilisées pour contrôler les travailleurs soulèvent des questions fondamentales sur la vie privée, la dignité et la liberté au travail. Il est de notre devoir de nous assurer que ces technologies ne sont pas utilisées pour abuser du pouvoir des employeurs au détriment des travailleurs. La réglementation, la sensibilisation et le respect de la vie privée sont essentiels pour garantir que le monde du travail reste un endroit équitable et respectueux de la dignité humaine.



Accélération et Montée des Jets de Chasse


Le monde de l’aviation a été marqué par d’étonnants développements technologiques, dont aucun n’est plus remarquable que le développement des chasseurs à réaction. Les chasseurs à réaction, parfois appelés le summum de l’ingénierie aéronautique, ont la capacité de parcourir rapidement de grandes distances tout en démontrant des manœuvres et des capacités de combat étonnantes. Deux paramètres clés définissent leurs performances : le taux d’accélération et le taux de montée. Ces paramètres illustrent non seulement les caractéristiques remarquables de ces équipements, mais soulignent également l’interaction complexe entre l’aérodynamique, les systèmes de propulsion et l’ingéniosité de l’ingénierie.

Le taux d’accélération, communément appelé accélération ou « pression G », est un moyen fondamental de mesurer la vitesse à laquelle un avion de combat à réaction peut améliorer sa vélocité. Cette mesure est essentielle pour une multitude de raisons, en particulier pour les décollages rapides, les manœuvres d’évasion et l’obtention et le maintien de rôles avantageux au cours des combats aériens. Les facteurs qui contribuent au niveau impressionnant d’accélération d’un chasseur à réaction sont ses moteurs puissants, sa conception et son style aérodynamiques, ainsi que ses matériaux légers.

L’un des principaux facteurs contribuant à la vitesse rapide de votre chasseur à réaction est sa méthode de propulsion. Les chasseurs à réaction modernes sont équipés de moteurs très performants qui produisent une poussée énorme. Ces moteurs sont souvent conçus pour offrir un équilibre idéal entre une poussée élevée et l’efficacité énergétique. La combinaison de technologies moteur innovantes, telles que les postcombustions, et l’utilisation efficace de la vectorisation de la poussée permettent aux avions de chasse de générer une poussée bien supérieure à leur propre poids, ce qui se traduit par une accélération rapide.

L’aérodynamique joue un rôle important dans les performances de vitesse d’un chasseur à réaction. La conception du corps et des ailes de l’avion est méticuleusement étudiée pour minimiser la traînée et maximiser la portance. Le profil aérodynamique d’un chasseur à réaction réduit la résistance à l’air, ce qui lui permet de décoller de l’atmosphère avec un minimum d’encombrement. En outre, certains chasseurs à réaction sont dotés d’ailes à géométrie variable qui peuvent être modifiées en cours de vol afin d’améliorer la portance et de réduire la traînée à différentes vitesses, ce qui améliore encore leurs capacités de vélocité.

En outre, les matériaux utilisés dans la construction des chasseurs à réaction contribuent à leurs impressionnants taux d’accélération. Ces avions sont souvent fabriqués à partir de matériaux composites légers et puissants, tels que des polymères renforcés de fibres de CO2 et des alliages de titane. La combinaison d’un développement léger et de moteurs puissants permet d’obtenir un rapport poussée/poids élevé, avion de chasse ce qui est un facteur essentiel pour obtenir une accélération rapide.

Le taux de montée est en fait une mesure de la rapidité avec laquelle un chasseur à réaction peut s’élever à des altitudes plus élevées. Cette mesure est d’une importance capitale dans les scénarios de combat, car elle permet aux aviateurs de gagner rapidement des positions avantageuses, d’échapper à un danger ou d’intercepter des menaces entrantes. Les normes qui influencent le taux de montée d’un chasseur à réaction comprennent les performances du moteur, l’aérodynamique, le rapport poussée/poids excédentaire et l’altitude opérationnelle.

Les moteurs d’un chasseur à réaction jouent un rôle essentiel dans la détermination de son niveau de montée. Ces moteurs fournissent la poussée nécessaire pour s’affranchir de la gravité et propulser l’avion vers le haut. Plus les moteurs sont efficaces, plus la pression qu’ils peuvent exercer contre la pression gravitationnelle est importante, ce qui se traduit par une augmentation du taux de montée. En outre, les moteurs dotés de technologies avancées, comme l’augmentation de la poussée au moyen de postcombustions ou de la vectorisation de la poussée, permettent aux chasseurs à réaction d’effectuer des ascensions abruptes et rapides.

L’aérodynamique, encore une fois, influence considérablement les performances de montée d’un chasseur à réaction. La conception de l’avion permet de créer efficacement une portance tout en minimisant la traînée. La forme des ailes, les profils des profils aérodynamiques et la conception générale du fuselage sont optimisés pour créer la portance nécessaire pour contrebalancer le poids de l’avion. En générant une portance importante, les avions de chasse peuvent atteindre des angles de montée élevés et s’élever rapidement.

Le rapport poussée/poids, un facteur critique pour l’accélération, joue également un rôle essentiel dans la vitesse de montée d’un chasseur à réaction. Lorsque la poussée générée par les moteurs est nettement supérieure au poids de l’avion, celui-ci peut monter rapidement. Ce phénomène est particulièrement visible au décollage, lorsque l’avion a besoin d’une poussée considérable pour vaincre à la fois la pression gravitationnelle et le frottement du sol.

L’altitude d’exploitation, ou même l’altitude à laquelle l’avion vole, influe également sur son niveau de montée. À plus haute altitude, la densité de l’air diminue, ce qui a un effet sur les performances de l’avion. Les chasseurs à réaction subissent généralement une diminution de la poussée due à la réduction de la densité de l’air, ce qui a un impact sur leur prix de montée. Par conséquent, le rythme de montée peut varier en fonction de l’altitude opérationnelle et des préoccupations de conception de l’aéronef.

Le taux d’accélération et le taux de montée ne sont certainement pas des paramètres isolés, mais ils sont délicatement liés l’un à l’autre et aux performances globales d’un chasseur à réaction. Un taux d’accélération élevé permet à un chasseur à réaction d’atteindre rapidement la vitesse opérationnelle souhaitée, ce qui lui permet d’engager une attaque ou d’échapper à des menaces de manière efficace. Cette accélération est particulièrement cruciale lors du décollage, où l’avion doit acquérir une accélération spécifique avant de pouvoir décoller.

Une fois dans les airs, la vitesse de montée devient cruciale. Un taux de montée rapide permet à l’avion de prendre rapidement de l’altitude, ce qui est avantageux dans différents scénarios. Par exemple, au cours d’un combat, prendre rapidement de l’altitude peut offrir un avantage tactique en offrant une meilleure présence, des possibilités de fuite et un meilleur positionnement tactique. De même, lors de missions de reconnaissance ou d’interception, un taux de montée élevé permet à l’aéronef d’atteindre rapidement l’altitude opérationnelle souhaitée pour des performances optimales.

En conclusion, le taux d’accélération et le taux de montée sont deux paramètres essentiels qui définissent les capacités extraordinaires des chasseurs à réaction. La fusion de systèmes de propulsion avancés, de l’ingénierie aérodynamique, de matériaux légers et de principes stylistiques innovants permet à ces avions d’atteindre des taux d’accélération et de montée étonnants. Ces mesures ne sont pas seulement un témoignage de l’ingéniosité humaine et des prouesses technologiques, mais aussi le reflet d’une quête permanente pour repousser les limites de ce qui est réalisable dans le monde de l’aviation. Les chasseurs à réaction, avec leurs performances exceptionnelles, continuent de symboliser les succès remarquables de l’ingénierie aéronautique.



Amazon va réduire les emplois chez Whole Foods


Voici quelque chose que Wal-Mart pourrait faire à Amazon, juste pour être méchant.
Amazon prévoit de réduire les emplois et autres coûts chez Whole Foods, une personne qui connaît les plans d’épicerie de l’entreprise », a déclaré à Bloomberg L’encre n’est même pas sèche sur l’accord proposé, mais les synergies et les efficacités sont déjà en train d’être tracées.
Amazon a accepté d’acquérir Whole Foods pour 13,7 milliards de dollars, une prime de 27% par rapport au cours de l’action jeudi à la clôture, et a maintenant l’intention de faire baisser les prix pour éliminer le surnom de Whole Food Whole Paycheck », et poursuivre les magasins Wal-Mart, Target, les discounters allemands Aldi et Lidl qui se développent aux États-Unis, Costco et les chaînes d’épiceries, comme Kroger et les chaînes de capital-investissement Safeway et Albertson’s
Les emplois à supprimer comprennent les caissiers, qui seraient remplacés par la technologie Just Walk Out d’Amazon », actuellement en cours de test dans son dépanneur Amazon Go à Seattle. Lorsque les clients avec l’application Amazon Go sur leurs smartphones entrent dans le magasin, le système les connecte au réseau du magasin et établit la connexion à leur compte Amazon.
Le système utilise la vision par ordinateur, la fusion de capteurs et l’apprentissage en profondeur », explique Amazon, pour suivre tout ce que les clients retirent de l’étagère. Si les clients remettent un article, le système le supprime du panier virtuel de leur application. Une fois cela fait, les clients peuvent simplement sortir sans avoir à passer par une ligne de paiement. Le système débitera automatiquement le compte du client et enverra un reçu.
Ce système remplacerait les caissiers de Whole Foods, selon la personne familière avec l’affaire, qui a demandé à ne pas être nommée parce que les plans sont privés », a rapporté Bloomberg.
Ce ne sont donc pas les encombrantes machines de libre-paiement avec lesquelles nous nous débattons depuis des années, mais quelque chose qui permettrait à Amazon de se différencier. Cependant, le principal avantage serait une réduction radicale des coûts de main-d’œuvre dans les magasins Whole Foods. Les employés restants contribueraient à améliorer l’expérience de magasinage, a déclaré la personne », selon Bloomberg.
Amazon prévoit également d’apporter un certain nombre d’autres changements, y compris aux marchandises que le magasin transporte, afin de faire baisser les prix. Amazon introduirait des produits de marque privée – en plus des produits de marque privée existants de Whole Foods – pour remplacer les produits qu’elle considère trop chers. Alors préparez-vous pour les marques alimentaires d’Amazon.
Ces changements n’auront lieu qu’après la clôture de la transaction, qui devrait avoir lieu plus tard cette année.
La guerre des prix des épiceries est déjà brûlante. Ainsi, les prix élevés qui ont entravé Whole Foods au cours des deux dernières années auront probablement disparu.
Après que Whole Foods soit devenu partie intégrante de l’empire amazonien plus tard cette année, il n’a plus besoin de réaliser des bénéfices importants et croissants. Ce concept pittoresque est par la fenêtre. Amazon est comme ça au-delà de ça. Il peut perdre de l’argent, pas de problème. À elle seule, Whole Foods n’aurait jamais pu faire cela.
Un porte-parole d’Amazon a tout nié. Amazon n’a pas l’intention d’utiliser une technologie sans caisse pour automatiser les emplois de caissiers chez Whole Foods et aucune réduction d’emploi n’est prévue », a-t-il déclaré à Bloomberg dans un communiqué.
Hélas, presque toutes les acquisitions de ce type impliquent des efforts pour trouver des synergies et des efficacités, comme on les appelle, pour réduire les coûts pour que la transaction fonctionne, ce qui se traduit par de lourdes suppressions d’emplois. Et puisque l’accord est loin d’être conclu, il n’est pas nécessaire qu’il y ait des plans officiels »à ce stade.
Amazon a fait un art de la tarification, avec des prix qui montent et descendent de façon spectaculaire, selon qui le regarde, quels types de cookies et historique de navigation qu’ils ont sur leurs appareils, et ce qui est connu à leur sujet, par exemple quand ils  » re vérification d’un prix tout en étant connecté à Amazon.
Ce modèle de tarification variable – qui a engendré toute une sous-industrie pour la vaincre – s’est propagé à d’autres détaillants et peut rendre les acheteurs astucieux. Bien sûr, les compagnies aériennes et d’autres industries l’utilisent également depuis des années. Il serait intéressant de voir si Amazon peut comprendre comment le déplacer vers ses magasins physiques – par exemple, avec des prix affichés uniquement sur les smartphones avec l’application Amazon Go lorsque vous arrivez au produit.
Amazon s’en prend également aux acheteurs à revenu faible ou intermédiaire. Pour un détaillant grand public, il a besoin de tous les clients. Il a déjà des abonnements Amazon Prime moins chers pour les clients bénéficiant d’une aide gouvernementale, selon Bloomberg. Et il teste un programme de livraison d’épicerie aux destinataires de bons d’alimentation.
Maintenant, si les magasins Wal-Mart voulaient mettre un peu de pression sur Amazon, juste pour être méchant, il pourrait offrir quelque chose comme 4 milliards de dollars de plus pour Whole Foods afin qu’Amazon surpasse Wal-Mart en offrant 2 ou 3 milliards de dollars supplémentaires, Wal-Mart se retirerait, célébrant, et Amazon devrait trouver 20 milliards de dollars pour acheter Whole Foods, et non 13,6 milliards de dollars, ce qui pourrait altérer sa cote de crédit et rendre les choses un peu plus difficiles pour Amazon à l’avenir. Je pensais juste à voix haute.



Les sneakers et la culture des collections


Au cours des dernières années, le marché des chaussures de sport a connu un véritable essor. Ce qui n’était autrefois qu’un domaine d’intérêt pour les amateurs et les passionnés est devenu une industrie de plusieurs milliards d’euros qui attire l’attention des acheteurs, des créateurs de mode et des célébrités. Dans cet essai, je vais explorer les normes qui sous-tendent l’augmentation du marché des baskets et les raisons pour lesquelles il s’agit d’une tendance si importante aujourd’hui.

L’une des principales raisons de l’essor du marché des baskets est la tendance croissante de l’athleisure. L’athlétisme est en fait un modèle de mode qui combine les vêtements de sport et les vêtements de tous les jours, créant ainsi un look confortable et branché, parfait pour la vie quotidienne. Les chaussures sont un élément important de cette tendance, car elles offrent à la fois confort et style. Les gens sont de plus en plus soucieux de leur santé et cherchent à adopter un style de vie actif. Ils s’efforcent donc de trouver des chaussures confortables et élégantes à porter à l’intérieur comme à l’extérieur de la salle de sport. Cela a créé une demande importante pour des chaussures de sport de haute qualité et à la mode.

Un autre facteur qui contribue à l’essor du marché des baskets est l’émergence d’éditions exclusives et de produits distinctifs. Des fabricants de baskets comme Nike, Adidas et Puma proposent des chaussures en édition limitée en collaboration avec des créateurs de mode, des musiciens et des célébrités. Ces éditions limitées sont très recherchées et se vendent souvent dans les minutes qui suivent leur sortie. Cette exclusivité a suscité un engouement et une excitation sur le marché des chaussures de sport, ce qui a fait grimper la demande et les prix.

Les réseaux sociaux ont également joué un rôle important dans l’essor du marché des chaussures de sport. Des plateformes comme Instagram et Twitter ont créé une communauté de fanatiques de baskets qui partagent leurs collections, discutent des nouvelles sorties et publient des photos de leurs derniers achats. Cela a créé une tradition autour des chaussures, où le fait de posséder les dernières nouveautés et de nombreuses exclusivités est considéré comme un symbole de statut social. Les réseaux sociaux ont également permis aux hommes et aux femmes d’acheter et de vendre plus facilement des chaussures de sport en ligne, créant ainsi un marché mondial beaucoup plus accessible pour les chaussures de sport.

L’essor du marché des baskets a également attiré l’attention des commerçants et des chefs d’entreprise. Le nombre de revendeurs de baskets, qui achètent des chaussures en édition limitée et les revendent à un prix majoré, a considérablement augmenté. Cela a créé un marché secondaire pour les chaussures de sport, dont la valeur est estimée à des montants considérables. En outre, les fabricants de baskets ont également commencé à investir davantage dans leur marketing et leur image de marque, en créant des collaborations avec des célébrités et en recrutant de grands événements sportifs. Cela a contribué à accroître la visibilité et la popularité des baskets, les rendant plus désirables pour les clients.

La prospérité du marché des baskets est due à une combinaison d’éléments, notamment l’essor des vêtements de loisir, les éditions exclusives, investir dans les sneakers les réseaux sociaux et la croissance du marché secondaire de la chaussure. L’intérêt pour les baskets ne cessant de croître, il y a fort à parier que l’industrie des baskets connaîtra davantage de développement et d’imagination, les entreprises s’efforçant de suivre les nouvelles tendances et de capter l’intérêt des consommateurs.



Des dinosaures et des histoires


Des programmes télévisés comme les Pierrafeu illustrent des personnes et des dinosaures vivant en paix les uns avec les autres. Mais ce ne sont que des histoires, n’est-ce pas? Vraiment, pas très. Les dinosaures entre lesquels les tout premiers humains ont résidé n’étaient pas les grands lézards forestiers auxquels nous pensons le plus souvent une fois que nous commençons à voir le terme. Celles-ci étaient éteintes depuis près de 66 millions d’années avant que les tout premiers humains ne commencent à fabriquer leur étiquette. Les dinosaures qui se sont mêlés à ces anciens ancêtres étaient la faune moderne – les proches naturels les plus proches pour les dinosaures disparus – ce qui signifie que nous vivons aussi avec des dinosaures. Les dinosaures étaient l’espèce dominante depuis environ 165 milliards d’années, à une époque appelée le temps mésozoïque. Des preuves croissantes impliquent que de nombreux dinosaures ont un sang confortable, portent des plumes colorées et se livrent à des actions similaires à celles de la faune moderne. Leur règne s’est terminé après le Crétacé, lorsqu’un astéroïde de la taille d’une colline a percuté la péninsule du Yucatán au Mexique avec la poussée de 100 000 milliards de TNT. L’influence a fait un cratère de 115 kilomètres et de nombreux kilomètres de graves et a livré beaucoup de rock and roll, de poussière et de particules à l’ambiance. Une obscurité s’est abattue sur le monde qui, avec d’autres catastrophes connexes, a anéanti environ quatre-vingt pour cent du mode de vie dans le monde. On reconnaît que les petits mammifères ont existé avec les dinosaures pendant le règne final des énormes bêtes. Un certain nombre de ces créatures au sang douillet ont survécu au cataclysme qui a tué les dinosaures et loin de l’autre vie dans le monde à cette époque et a finalement évolué en un éventail d’animaux de compagnie. Un nombre incroyable d’années après, les gens restent dans le bonheur des ménages avec les dinosaures. Nous les appelons simplement des poulets et des perruches. L’existence, euh, trouve une méthode simple. Le titre de dinosaure vient des mots grecs anciens deinos («terrible» ou «terriblement grand») et sauros («reptile» ou «lézard»). L’anatomiste anglais Richard Owen a recommandé l’expression officielle Dinosauria en 1842 pour inclure trois créatures géantes éteintes (Megalosaurus, Iguanodon et Hylaeosaurus) représentées par de gros os fossilisés qui avaient été mis au jour à plusieurs endroits dans la partie sud de la Grande-Bretagne au cours de la au début d’une partie des années 1800. Owen a reconnu que ces reptiles particuliers étaient significativement différents des autres reptiles identifiés dans l’offre et également dans le passé pour trois raisons: ces personnes étaient grandes mais certainement terrestres, contrairement aux ichtyosaures aquatiques et aux plésiosaures qui étaient actuellement reconnus; qu’ils avaient plusieurs vertèbres à l’intérieur de leurs hanches, alors que la plupart des reptiles identifiés n’en ont que deux; et, plutôt que de conserver leurs membres étendus à l’intérieur à la manière des lézards, les dinosaures tenaient leurs membres sous le corps en colonnes, comme les éléphants ainsi que d’autres gros mammifères.



Les oranges


Nous pouvons parfois être un vrai paresseux. En fait, nous avons fait chuter les ventes d’oranges au cours des trois dernières années car, apparemment, nous ne pouvons plus être dérangés de les éplucher. À ce moment-là, il est temps de rappeler pourquoi ce fruit d’hiver ensoleillé mérite plus d’attention. Pour récapituler: l’orange a une lignée ancienne – elle a été cultivée pour la première fois en Chine il y a 6000 ans. Au tournant du premier millénaire, les croisés anglais des jardins de Jaffa en dépendaient pour son jus apaisant. En 1801, la guerre de l’orange prend même son nom, pour l’amour de Dieu! Et si cela ne suffit pas, que diriez-vous de ceci: c’est l’ingrédient principal de notre marmelade de petit-déjeuner bien-aimée. Mais ce qui était autrefois le trésor tant attendu au fond d’un bas de Noël victorien a, hélas, plongé dans les sondages de popularité.

Nous n’avons pas perdu la saveur. Nous sommes une nation de gourmands en JO et sommes simplement faibles aux genoux pour n’importe quel combo chocolat-orange – que ce soit une glace, une mousse ou une barre. À bien y penser, nous n’avons jamais été trop à court de temps pour décoller la feuille d’étain sur une orange chocolatée. Et en ce qui concerne la nutrition, il semble que nous préférerions forcer les comprimés pour chevaux au nom de l’apport en vitamine C à nous trouver la vraie chose, ce qui ne s’additionne pas quand vous pensez que les oranges mangées entières de la main donnent un ensemble de nutriments beaucoup plus complexe et vital que n’importe quel comprimé ou jus.

Les oranges ont parcouru un long chemin. De Chine, les commerçants arabes ont apporté les orbes d’or en Méditerranée et en Afrique du Nord. Ils ont traversé le détroit de Gibraltar en Espagne avec l’invasion maure où, depuis, l’Andalousie est synonyme d’arbre à feuilles persistantes trapu. Ornant les patios de toute la région, son délicat parfum de fleur remplit l’air doux tandis que ses branches portent des fruits en même temps. Que ce soit en raison de sa couleur dorée ou de sa provenance exotique, il est rapidement devenu un symbole de richesse. En Italie, la famille Médicis a adopté cinq boules d’or, connues pour être des oranges, pour leurs armoiries familiales. La France a reçu pour la première fois cet emblème de prospérité lorsque le duc de Bourbon a ramené un arbre d’Espagne. Quand il a fait défection plus tard en Italie, le roi avide François I s’est emparé de l’arbre. Plus tard, Louis VI, avec son attitude pionnière pour l’horticulture et son attirance comme la pie pour tout ce qui brillait, s’est emmené avec l’arbre à Versailles et a cultivé un bosquet – le symbole personnel ultime de statut et de richesse.

Cependant, jusqu’à présent, l’histoire ne concerne que l’orange amère – ce que nous appelons aujourd’hui la Séville. Avec une chair trop amère pour être consommée crue, ses huiles, extraites de la fleur et de la peau, étaient à l’origine de toute l’excitation. L’huile de néroli séduisante était peut-être le parfum de choix des membres de la famille royale européenne, mais, chez eux, recettes de cuisine les Britanniques médiévaux restaient incertains quant aux avantages d’un bain chaud et parfumé. Alors, pendant qu’ils se baignaient, nous avons cuisiné. Confiture.

Au 18ème siècle, la confiture d’orange douce-amère dominait notre table de petit-déjeuner et d’autres utilisations du fruit ont évolué à partir de là. Les livres de cuisine géorgienne, par exemple, incluent des recettes de puddings à l’orange cuits au four qui demandent l’écorce et le jus d’oranges de Séville. En France, la bigarade était concoctée – une sauce noire à l’orange enrichie de porto servie avec du canard rôti – et des orangettes, ces divines écorces d’oranges confites enrobées de chocolat de Provence.

L’arrivée de sa douce cousine a augmenté notre apport en vitamine C pour de bon. L’entreprenant Christophe Colomb a transporté ses racines à Hispaniola en commençant la culture dans les Caraïbes, au Mexique et en Amérique du Sud. L’agriculture commerciale à grande échelle a commencé en Floride et en Californie dans les années 1870 et 1880 lorsque les Américains ont grandi et ont ensuite exporté leur première cargaison – 10000 boîtes d’oranges – en Angleterre en 1892.

A cette époque de l’année nos oranges proviennent de l’hémisphère nord: Espagne, Maroc, Chypre, Egypte et Turquie. Si les minuscules autocollants indiquant la provenance et la variété vous ont jusqu’à présent dépassés, regardez de plus près. Mangez-vous ou faites-vous du jus? En février et mars, les oranges de dessert incluent la Navel Late et la Lane Late, qui sont faciles à peler. Le Sanguinello et le Morata, tous deux des oranges sanguines, sont considérés comme les plus doux et les plus délicats. Les salustianos et les valencias sont destinés au pressage, chargés positivement de jus riche et doré. Prenez quelques sacs en filet, pressez suffisamment pour remplir une grande cruche et donnez au brunch du dimanche la touche Midas. Les oranges de Séville entières se congèlent bien bien qu’elles se séparent une fois décongelées, mais cela n’a pas d’importance si vous êtes sur le point de les mettre dans une casserole pour un lot de marmelade.

Ne laissez pas un peu de vert ou de rouille de la peau vous décourager – elles sont aussi mûres et prêtes que celles de couleur orange solide. Ceux qui présentent des taches molles ou des traces de moisissure doivent être évités avec ceux qui sont spongieux au toucher ou légers. Choisissez des oranges qui ont une peau lisse, celles qui sont fermes et lourdes pour leur taille auront une teneur en jus plus élevée. Plus le fruit est petit, plus il sera juteux.



Une certaine urgence


Le bon côté de nommer un discours en 2017 «Notes d’une urgence» est qu’il y a tellement de directions à prendre.
L’urgence dont je veux parler est la montée d’un nationalisme ethnique vigoureux en Europe et en Amérique. Ce nationalisme utilise habilement les outils en ligne, des outils qui, selon nous, promeuvent la liberté de manière inhérente, pour faire avancer un programme autoritaire.
Selon l’endroit où vous vivez, la montée en puissance de cette nouvelle aile droite pourrait ne pas être nouvelle. Aux États-Unis, notre moment de choc est venu en novembre dernier, avec l’élection de Donald Trump.
Le résultat final de cette élection a été:
65,8 millions pour Clinton
63,0 millions pour Trump
C’était la deuxième fois en seize ans que le candidat avec le moins de voix remportait la présidence américaine. Il y a un bogue dans le système d’exploitation de notre démocratie, l’une des nombreuses façons dont l’esclavage jette toujours son ombre sur la politique américaine.
Mais quelle que soit son élection, Trump est à la Maison Blanche et notre crise est devenue la vôtre. Non seulement parce que l’Amérique est une superpuissance, ou parce que les forces qui ont amené Trump au pouvoir gagnent du terrain en Europe, mais parce que l’Internet est un Internet américain.
Facebook est le réseau social dominant en Europe, avec 349 millions d’utilisateurs actifs par mois. Google détient quelque chose comme 94% de part de marché pour la recherche en Allemagne. Les serveurs de l’Europe sont jonchés de cadavres de sites de médias sociaux morts et mourants. Les quelques récalcitrants qui existent encore, comme Xing, sont écrasés par leurs rivaux américains.
Dans leur vie en ligne, les Européens sont devenus complètement dépendants des sociétés dont le siège est aux États-Unis.
Et donc Trump est en charge en Amérique, et l’Amérique a toutes vos données. Cela vous laisse dans une position très exposée. Les résidents américains bénéficient d’une certaine protection juridique contre le gouvernement américain. Même si vous pensez que nos agences de renseignement sont mauvaises, elles sont légitimes. Ils doivent suivre les lois et les procédures, et les membres de ces agences les prennent au sérieux.
Mais il n’y a pas de telles protections pour les non-Américains en dehors des États-Unis. La NSA devrait aller au tribunal pour m’espionner; ils peuvent vous espionner à tout moment.
C’est une situation étonnante. Je ne peux pas imaginer un monde où l’Europe se laisserait dépendre du fromage américain, ou où les Allemands ne pourront que boire du Coors Light.
Par le passé, l’Europe a montré qu’elle était capable d’identifier un intérêt vital et d’agir pour le protéger. Lorsque les entreprises aérospatiales américaines étaient sur le point de faire perdre leurs concurrents étrangers, les gouvernements européens ont formé le consortium Airbus, qui rivalise désormais avec succès avec Boeing.
Une part énorme du budget de l’UE est destinée à subventionner l’agriculture, non pas parce que l’agriculture est la meilleure utilisation des ressources dans une économie du premier monde, mais parce que les exploitations agricoles sont importantes pour la sécurité nationale, le paysage, l’identité nationale, la stabilité sociale et un sentiment partagé de qui nous sommes.
Mais quand il s’agit d’Internet, l’Europe ne se bat pas. Il a entièrement cédé le terrain aux sociétés américaines. Et maintenant, ces sociétés doivent traiter avec Trump. À quel point pensez-vous qu’ils travailleront pour défendre les intérêts européens?
L’Internet féodal
Le statu quo en mai 2017 ressemble à ceci:
Il existe cinq sociétés Internet: Apple, Google, Microsoft, Amazon et Facebook. Ensemble, ils ont une capitalisation boursière d’un peu moins de 3 billions de dollars.
Bruce Schneier a appelé cet arrangement Internet féodal. Une partie de cette concentration est due aux effets de réseau, mais une grande partie est due au problème de la sécurité. Si vous voulez travailler en ligne avec n’importe quelle mesure de commodité et de sécurité, vous devez choisir un seigneur féodal qui est assez grand pour vous protéger.
Ces cinq entreprises se font concurrence et coexistent de manière complexe.
Apple et Google ont un duopole dans les systèmes d’exploitation des smartphones. Android détient 82% du marché des combinés, iOS 18%.
Google et Facebook sont en route vers un duopole de la publicité en ligne. Plus de la moitié des revenus de cette industrie lucrative (70 milliards de dollars et plus) leur revient, et les deux sociétés entre elles captent toute la croissance (16% par an).
Apple et Microsoft ont un duopole dans les systèmes d’exploitation de bureau. L’équilibre est quelque chose comme neuf contre un en faveur de Windows, sans compter les trois ou quatre personnes qui utilisent Linux sur le bureau, qui sont probablement toutes à cette conférence.
Trois sociétés, Amazon, Microsoft et Google, dominent le cloud computing. AWS a 57% d’adoption, Azure 34%. Google a 15%.
En dehors de la Chine et de la Russie, Facebook et LinkedIn sont les seuls réseaux sociaux à grande échelle. LinkedIn a pu survivre en se vendant à Microsoft.
Et en dehors de la Russie et de la Chine, Google est le moteur de recherche du monde
Tel est l’état de l’Internet féodal, en laissant de côté le bouffon de la cour, Twitter, qui joue un rôle important mais accessoire comme une sorte de salon de discussion mondial.
Google en particulier a failli réaliser notre scénario de cauchemar de 1998, un Internet intégré verticalement contrôlé par un seul acteur monopolistique. Google gère son propre réseau physique, construit des combinés téléphoniques, développe un système d’exploitation pour ordinateur portable et téléphone, crée le navigateur le plus utilisé au monde, gère un système DNS privé, l’autorité de certification PKI, a photographié presque tous les espaces publics du monde, et stocke une grande partie du courrier électronique dans le monde.
Mais parce qu’il est dirigé par des fondateurs plus sympathiques que Bill Gates, parce qu’il construit de meilleurs logiciels que Microsoft au début, et parce qu’il a accumulé beaucoup de capital social au début, ne soyez pas mauvais », nous lui avons donné une passer.
Sécurité
Il n’est pas clair que quiconque puisse sécuriser de grandes collections de données au fil du temps. L’asymétrie entre l’attaque et la défense peut être trop grande. Si la défense à grande échelle est possible, la seule façon de le faire est de consacrer des millions de dollars à l’embauche des meilleures personnes pour la défendre. Les violations de données aux plus hauts niveaux nous ont montré que les menaces sont réelles et continues. Et pour chaque brèche que nous connaissons, il y en a beaucoup de silencieuses que nous n’apprendrons pas avant des années.
Une défense réussie, cependant, ne fait qu’augmenter le risque. Empilez suffisamment de trésors derrière les murs du château et vous finirez par attirer quelqu’un qui peut les escalader. Le système féodal rend Internet plus fragile, garantissant que lorsqu’une brèche arrive enfin, elle sera désastreuse.
Chacune des cinq grandes entreprises, à l’exception importante d’Apple, a placé la surveillance agressive des utilisateurs au cœur de son modèle commercial. C’est un dilemme de l’Internet féodal. Nous recherchons la protection de ces entreprises car elles peuvent nous offrir une sécurité. Mais leur modèle commercial est de nous rendre plus vulnérables, en nous amenant à livrer plus de détails de nos vies à leurs serveurs, et à faire plus confiance aux algorithmes qu’ils forment sur notre comportement observé.
Ces algorithmes fonctionnent bien, et malgré les tentatives de nous convaincre du contraire, il est clair qu’ils fonctionnent aussi bien en politique qu’en commerce. Donc, dans notre empressement à trouver la sécurité en ligne, nous avons donné à cet Internet féodal le pouvoir de changer notre monde hors ligne de manière imprévue et effrayante.
Globalisme
Ces cinq grandes entreprises opèrent à l’échelle mondiale, et en partie parce qu’elles ont créé les industries qu’elles dominent maintenant, elles bénéficient d’un régime réglementaire très laxiste. Partout en dehors des États-Unis et de l’UE, ils sont à l’abri de la surveillance du gouvernement et, aux États-Unis, les deux dernières administrations les ont joués avec une touche légère. La seule tentative significative de réglementer le capitalisme de surveillance est venue de l’Union européenne.
Grâce à leur taille et à leur portée, les entreprises sont devenues aptes à obstruer les gouvernements et à échapper aux tentatives de réglementation ou de surveillance. Dans de nombreux cas, cette évasion est noble. Vous ne voulez pas que Bahreïn ou la Pologne puissent assigner Facebook et obtenir les noms des personnes qui organisent un rassemblement de protestation. Dans d’autres cas, c’est purement égoïste. Uber a fait un sport d’évasion de toute autorité, étrangère et nationale, pour se développer.
En bien ou en mal, la leçon que ces entreprises ont tirée est la même: elles n’ont qu’à rendre des comptes à elles-mêmes.
Mais leurs logiciels et algorithmes affectent la vie de milliards de personnes. Les décisions sur le fonctionnement de ce logiciel ne sont soumises à aucun contrôle démocratique. Dans le meilleur des cas, ils sont réalisés par des jeunes idéalistes en Californie avec une connaissance imparfaite de la vie dans un endroit lointain comme l’Allemagne. Dans le pire des cas, ils sont simplement lus à partir d’un algorithme de boîte noire formé sur Dieu sait quelles données.
C’est une mentalité très coloniale! En fait, c’est pour cela que nous avons mené notre guerre d’indépendance américaine, un sentiment de grief que les décisions qui nous affectaient étaient prises par des étrangers à travers l’océan.
Aujourd’hui, nous rendons service à toute l’Europe.
Facebook, par exemple, n’a qu’un seul gestionnaire en Allemagne pour traiter avec tous les éditeurs du pays. Une! La société qui démantèle l’industrie de l’information en Allemagne ne se soucie même pas assez d’envoyer une équipe appropriée pour gérer la démolition.
Le Danemark est allé jusqu’à désigner un ambassadeur auprès des géantes des technologies, une reconnaissance troublante mais pragmatique des relations de pouvoir qui existent entre les pays européens et la Silicon Valley.
Donc, une question (parlant maintenant en tant que citoyen de l’UE): comment avons-nous laissé cela se produire? Nous comptions! C’est nous qui faisions la colonisation! Nous étions un concurrent!
Comment se fait-il qu’un enfant stupide de Palo Alto puisse décider de l’avenir politique de l’Union européenne sur la base de ce qu’il a appris lors du boot camp du Big Data? Avons-nous perdu une guerre?
Le manque de responsabilité n’est pas seulement troublant d’un point de vue philosophique. C’est dangereux dans un climat politique où les gens repoussent l’idée même de mondialisation. Aucune industrie n’est plus mondialisée que la technologie, et aucune industrie n’est plus vulnérable à un contrecoup potentiel.
La Chine et la Russie nous montrent que l’Internet n’a pas besoin d’être un réseau mondial, qu’il peut être détourné et s’approprier par l’État. En créant une boîte à outils politique pour les mouvements autoritaires, les géants américains de la technologie peuvent mettre leur propre avenir en danger.
Irréalité
Compte tenu de cet état du monde effrayant, avec l’effondrement écologique juste à l’horizon et une population affûtant ses fourches, une question importante est de savoir comment cette industrie technologique mondialisée et irresponsable voit ses objectifs. Que veut-il? Dans quoi tous les bénéfices seront-ils investis?
Quel est le plan?
Je souhaite que je plaisantais.
Les meilleurs esprits de la Silicon Valley sont préoccupés par un avenir de science-fiction qu’ils considèrent comme leur destin manifeste à construire. Jeff Bezos et Elon Musk s’affrontent sur Mars. Musk obtient la majeure partie de la presse, mais Bezos vend maintenant 1 milliard de dollars d’actions Amazon par an pour financer Blue Origin. Les investisseurs ont investi plus de 8 milliards de dollars dans des sociétés spatiales au cours des cinq dernières années, dans le cadre d’une campagne visant à exporter nos problèmes ici sur Terre dans le reste du système solaire.
Aussi heureux que je suis de voir Elon Musk et Jeff Bezos tirer dans l’espace, cela ne semble pas valoir l’effondrement d’un gouvernement représentatif.
Notre cohorte de fondateurs de technologies ressent le souffle froid de la mortalité alors qu’ils dérivent vers l’âge mûr. Ainsi, une partie de ce qui motive cette poussée dans l’espace est une préoccupation plus générale du «risque existentiel».
Musk est persuadé que nous vivons dans une simulation, et lui ou un autre vrai croyant a engagé des programmeurs pour essayer de le pirater.
OpenAI, un culte religieux à peine déguisé en institution de recherche, a reçu 1 milliard de dollars pour prévenir la rébellion du robot.
Le plus grand risque existentiel, bien sûr, est la mort, donc beaucoup d’argent va faire en sorte que nos hommes de grande idée n’expirent pas avant que le monde ait reçu la pleine mesure de leur génie.
Google Ventures a fondé la start-up très secrète de l’extension de la vie Calico, avec un financement de 1,5 milliard de dollars. Google perd 4 milliards de dollars par an sur ses différents coups de lune », qui incluent la prolongation de la vie. Ils emploient Ray Kurzweil, qui pense que nous sommes toujours sur la voie de l’immortalité d’ici 2045. Larry Ellison a investi 370 millions de dollars dans la recherche anti-âge, car tout le monde voudrait vivre dans un monde avec un Larry Ellison immortel. Nos ploutocrates sont impatients de faire de la mort une expérience de retrait.
Maintenant, je ne suis pas fan de la mort. Je n’aime pas l’engagement de temps ou la permanence. Un certain nombre de personnes que j’aime sont mortes et cela a tendu notre relation.
Mais en même temps, je ne suis pas convaincu qu’une civilisation qui lutte pour guérir la calvitie masculine soit prête à affronter le Grim Reaper. Si nous voulons nous préoccuper du risque existentiel, je préférerais commencer par aborder les deux risques existentiels qui sont incontestablement réels – la guerre nucléaire et le changement climatique mondial – et progresser vers le haut à partir de là.
Mais les vrais problèmes sont désordonnés. La culture technologique préfère résoudre des problèmes plus difficiles et plus abstraits qui n’ont pas été souillés par le contact avec la réalité. Ils se demandent donc comment donner à Mars un climat semblable à la terre, plutôt que comment donner à la Terre un climat semblable à la terre. Ils débattent de la façon de créer une IA moralement bienveillante, plutôt que de trouver comment mettre des garde-fous éthiques autour de l’IA plus piétonne qu’ils introduisent dans tous les domaines de la vie des gens.
L’industrie de la technologie aime démolir des institutions défectueuses, mais refuse de travailler pour les réparer. Leur appareil incontrôlé de surveillance et de manipulation leur vaut une fortune tout en endommageant tout ce qu’il touche. Et tout ce à quoi ils peuvent penser, ce sont les jouets cool sur lesquels ils pourront dépenser leurs bénéfices.
Le message qui ne parvient pas à la Silicon Valley est celui que votre mère vous a enseigné quand vous aviez deux ans: vous ne pouvez pas jouer avec les nouveaux jouets avant d’avoir nettoyé le gâchis que vous avez fait.
Les circonstances qui ont donné à l’industrie technologique tout ce pouvoir ne dureront pas longtemps. Il y a un temps limité pendant lequel notre petite caste de nerds technologiques aura le pouvoir de prendre des décisions qui façonneront le monde. En gaspillant les talents et les énergies de nos personnes les plus brillantes dans le jeu de rôle fantastique, nous cédons l’avenir à un groupe de successeurs plus pratique, des personnes vraiment effrayantes qui prendront nos outils et les utiliseront pour faire avancer un programme très différent.
Pour récapituler: Internet s’est centralisé en très peu de mains. Nous avons un appareil de contrôle social extrêmement lucratif, et il est dirigé par des narquois.
Le gouvernement américain est également dirigé par des rires.
La question que tout le monde s’inquiète est, que se passe-t-il lorsque ces deux groupes de rires se joignent?
L’hiver
Pour de nombreux Américains, l’élection a été un moment de choc profond. Ce n’était pas seulement la politique de Trump qui nous faisait peur. C’était le fait que cet être humain peu sérieux, cruel et vacant avait reçu le pouvoir de la présidence américaine.
Le plus effrayant pour moi était le peu de changement. Personne dans la presse ou sur les réseaux sociaux n’a eu le courage de dire que nous avions foiré. » Les experts qui ont été stupéfaits par le résultat des élections ont quand même fait des prédictions confiantes sur ce qui allait se passer ensuite, comme s’ils pouvaient prétendre au pouvoir prédictif.
Après l’élection, Facebook et Google ont regardé les montagnes de données qu’ils avaient collectées sur tout le monde, ont examiné les menaces que faisait l’administration Trump – expulser 11 millions de personnes, interdire aux musulmans d’entrer dans le pays – et se sont dit: nous avons eu cette. »
Les gens qui s’inquiétaient étaient des techniciens. Pendant un instant, nous avons vu apparaître un jour politique entre les centaines de milliers de personnes qui travaillent dans le secteur de la technologie et la petite clique de milliardaires qui le dirigent. Alors que ce dernier s’est présenté à une réunion maladroite célèbre avec Trump et ses enfants au sommet de sa tour dorée, le premier a commencé à s’organiser dans l’opposition, notamment en signant un engagement simple mais puissant de démissionner plutôt que d’aider Trump à remplir l’une de ses promesses clés de campagne. : interdire aux musulmans des États-Unis.
Cet engagement était un petit geste, mais il représentait la première action collective des travailleurs de la technologie autour d’un programme politique qui allait au-delà de la politique technologique, et la première fois que je voyais des travailleurs de la technologie défier ouvertement la direction.
Une forêt de nouvelles organisations a vu le jour. J’en ai également créé un, appelé Solidarité Tech, et j’ai commencé à voyager à travers le pays et à tenir des réunions avec des techniciens dans les grandes villes. Je n’avais aucune idée de ce que je faisais, à part essayer d’utiliser une petite fenêtre de temps pour organiser et mobiliser notre industrie endormie.
Ce sentiment d’élan s’est poursuivi lorsque Trump a pris ses fonctions. La Marche des femmes de janvier a fait sortir cinq millions de personnes dans les rues. L’Amérique n’est pas habituée aux manifestations de masse. Voir les rues de nos grandes villes se remplir de familles, d’immigrants, souvent de mamans, de filles et de grands-mères qui marchaient ensemble, c’était un spectacle à vous couper le souffle.
L’impossibilité de voyager est venue dans la foulée, un décret exécutif étonnant non seulement par sa cruauté: les familles étaient divisées dans les aéroports; dans un cas, une maman n’a pas été autorisée à allaiter son bébé, mais dans son ineptie. Pendant une semaine ou deux, des avocats ont campé dans des aéroports, travaillant frénétiquement, dormant peu, avec des efforts spontanés pour leur apporter des fournitures, leur obtenir des fonds, pour faire n’importe quoi pour les aider. Nous avons organisé un rassemblement à San Francisco qui a permis de collecter trente mille dollars dans une salle d’une centaine de personnes. Certaines des organisations que nous aidions n’ont même pas pu participer, elles étaient trop occupées à l’aéroport. Ça n’avait pas d’importance.
Les entreprises technologiques ont fait tout leur possible pour ne pas s’impliquer. Facebook a une fonctionnalité spéciale de «contrôle de sécurité» pour exactement ce genre de situation, mais n’a jamais pensé à l’activer dans les aéroports. Les déclarations publiques de la Silicon Valley étaient si insipides qu’elles étaient comiques
Cependant, les employés étaient électrifiés. Il semblait que non seulement les visiteurs, mais les résidents permanents seraient exclus des États-Unis. Les employés de Google ont organisé un débrayage avec le soutien de leur direction; Facebook (ne souhaitant pas être laissé pour compte) a eu sa propre protestation interne quelques jours plus tard, mais l’a gardée secrète. Chaque fois que les employés ont poussé, la direction a cédé soudainement. Les cadres supérieurs se sont rendus publiquement contre l’interdiction de voyager.
Les gens se sont même brièvement fâchés contre Elon Musk, normalement un chouchou de l’industrie de la technologie, pour son échec à démissionner du conseil consultatif du président. La majorité silencieuse des employés technologiques avait commencé à se mobiliser.
Et puis… il ne s’est rien passé. Cette main-d’œuvre technologique, qui avait pris goût à son propre pouvoir, dont les moindres efforts d’action collective avaient produit des résultats immédiats, qui avait vu à quel point elle avait de l’emprise, est retournée au travail. Le pire de l’interdiction de voyager de Trump a été bloqué par le tribunal, et nous sommes passés à autre chose. Avec le choc initial de Trump au pouvoir, nous passons maintenant de crise en crise, mais sans plan ni objectif positif commun.
Le malaise américain à l’égard d’un désaccord prolongé et ouvert s’est installé.
Quand j’ai commencé à essayer d’organiser les gens en novembre, ma théorie était que les travailleurs de la technologie étaient le seul groupe qui avait un effet de levier sur les géants de la technologie.
Mon raisonnement était le suivant: étant des monopoles ou des quasi-monopoles, ces entreprises sont insensibles à la pression publique. Les boycotts ne fonctionneront pas, car se retirer d’un site comme Google signifie se retirer d’une grande partie de la vie moderne.
Plusieurs de ces sociétés sont structurées (exceptionnellement pour les sociétés américaines) de telle manière que le conseil d’administration ne peut pas contrôler la majorité des votes. Chez Google et Facebook, par exemple, l’ultime mot revient aux fondateurs. Et puisque Google et Facebook sont les principaux médias d’édition en ligne, il est peu probable que la presse les critique jamais, même si les journalistes étaient capables de ce genre d’attention soutenue.
Cela ne laisse donc qu’un seul levier: les employés. Les travailleurs technologiques sont difficiles à trouver, coûteux à embaucher, prennent beaucoup de temps à se former et peuvent avoir leur choix d’emplois. Les entreprises technologiques sont petites par rapport à d’autres industries, et dépendent fortement de l’automatisation. Si même quelques dizaines de travailleurs d’une équipe d’opérations agissaient de concert, ils auraient le pouvoir de fermer un géant de la technologie comme Google. Tout ce qu’ils avaient à faire était de s’organiser autour d’un agenda commun.
Les travailleurs semblaient réceptifs à l’argument, mais confus quant à la manière dont ils pouvaient faire de l’action collective une réalité. Aux États-Unis, les syndicats sont attaqués depuis des décennies. Il n’y a presque pas de culture syndicale dans la technologie. Nos techniciens sont passifs et fatalistes.
Me voici donc en Europe, je me demande ce que nous pouvons faire sur Terre.
Et je reviens toujours à cette idée de connecter l’industrie technologique à la réalité. Apporter ses avantages à plus de gens et donner le pouvoir de prendre des décisions à plus de gens.
Fermer la boucle
Après l’effondrement du communisme en Pologne, j’ai commencé à visiter le pays tous les huit mois environ. Même dans la période la plus sombre des années 1990, il était frappant de voir le niveau de vie matériel des gens s’améliorer. Soudain, les gens avaient des voitures, des téléphones, des appareils électroménagers. Ces gains étaient inégaux mais larges. Même les agriculteurs et les retraités, bien qu’ils aient été les plus durement touchés, avaient accès à des biens de consommation qui n’étaient pas disponibles auparavant. Vous pouvez voir le changement dans les maisons et les espaces publics. Il n’était plus nécessaire pour les employés de bureau à Cracovie de changer leurs chemises à l’heure du déjeuner à cause de la suie dans l’air. L’eau du robinet à Varsovie est passée du brun clair au jaune pâle agréable.
Malgré tous les pillages, la corruption et l’inefficacité de la privatisation, suffisamment de nouvelles richesses ont traversé le niveau de vie global. Le niveau de vie en Pologne en 2010 avait plus que doublé depuis 1990.
Au cours de la même période, aux États-Unis, je n’ai pas vu grand-chose. Malgré des progrès techniques fabuleux, pratiquement tous pionniers dans notre pays, il y a eu un échec singulier à connecter notre fabuleuse prospérité à la personne moyenne.
Une étude qui vient de sortir montre que pour le travailleur masculin médian aux États-Unis, le salaire à vie le plus élevé est survenu si vous êtes entré sur le marché du travail en 1967. C’est étonnant. Les personnes nées en 1942 avaient de meilleures perspectives de revenus au cours de leur vie que les personnes qui entrent sur le marché du travail aujourd’hui.
Vous pouvez voir cet échec de connexion avec vos propres yeux, même dans un endroit riche comme la Silicon Valley. Il y a des campements de sans-abri en face du siège social de Facebook, la Californie a un PIB plus élevé que la France, et a en même temps le taux de pauvreté le plus élevé d’Amérique, ajusté en fonction du coût de la vie. Non seulement le secteur de la technologie n’a pas réussi à bâtir les communautés qui l’entourent, mais il a laissé les gens dans une situation pire qu’avant, en les excluant des lieux où ils ont grandi.
Marchez le long de Market Street (faites attention à votre pas!) À San Francisco et comptez les devantures de magasins aux volets. Descendez Caltrain à San Jose et voyez si vous pouvez croire que c’est la ville la plus riche des États-Unis, par habitant. L’augmentation massive de la richesse n’a pas de lien significatif avec la vie des gens moyens, même au cœur du pays de la technologie, et encore moins dans les coins oubliés du pays.
Les gens qui dirigent la Silicon Valley s’identifient aux valeurs progressistes. Ce ne sont pas de mauvaises personnes. Ils s’inquiètent de ces problèmes comme nous; ils veulent aider.
Alors pourquoi ne rien faire?



Le développement des bateaux


Les 70 dernières années ont connu de nombreuses révolutions dans la construction de bateaux de pêche, mais la plupart des concepts essentiels restent inchangés. Comme l’objectif est le cadre le plus léger, le plus rigide et le plus solide possible, quelques stratégies possèdent les ressources nécessaires pour atteindre cet objectif parfait. Même dans le monde des dériveurs à haute performance globale, la plupart doivent faire un compromis pratique. Certes, bien plus de 40 ans après l’avènement de la fibre de dioxyde de carbone, en dehors des plus grands échelons de l’activité sportive, le matériau continue d’être principalement utilisé dans les constructions de coque pour renforcer les emplacements de forte charge autour du mât et des quilles des bateaux construit principalement en fibre de verre. Une différence notable est le parcours International Moth, en particulier la motomarine Maguire Exocet construite au Royaume-Uni, qui avait pris les 17 meilleures places au championnat du monde de l’année dernière aux Bermudes. Les coques sont fabriquées à partir d’un sandwich de fibres alimentaires de dioxyde de carbone à module ultra-élevé ayant un noyau en mousse très mince, laminées à la main à l’aide de résines époxy Pro-Set up et ne considèrent que 10 kg (22 lb). Une technique pour produire en masse des fils de verre a été découverte accidentellement au début des années 1930 et en dix ans, une première résine de polyester a permis aux bâtiments de se construire à partir de ce nouveau matériau pour aider le travail de guerre. Les premiers adoptants d’après-guerre dans le monde de la navigation de plaisance ont fourni à Eddie Tyler, qui a essayé de donner une nouvelle vie aux ponts de son yawl Cooya de 40 pieds. Dans le même temps, une fois la coque d’origine du Pencil Duick terminée, un jeune Eric Tabarly l’a essayée comme forme pour créer un remplacement en fibre de verre. À partir des années 1950, plusieurs chantiers navals développaient des coques et des ponts en fibre de verre, avec des concepteurs comme le bureau néerlandais Van de Stadt parmi les premiers utilisateurs importants. Ils ont été rapidement accompagnés par un certain nombre d’autres, dont Camper et Nicholson, basés à Gosport. Cependant, à ce stade, personne ne réalisait vraiment à quel point les tout nouveaux matériaux étaient solides et les outils d’aujourd’hui pour l’analyse des structures n’étaient pas disponibles. Les premières motomarines en fibre de verre étaient donc inévitablement beaucoup plus que conçues, utilisant des stratifiés solides et lourds faits de tampon de brins coupés et de seaux de résine. Un contrôle de qualité élevé faisait souvent défaut, de sorte que certaines parties du stratifié seront riches en résine, produisant une structure légèrement cassante, tandis que d’autres peuvent ne pas avoir été suffisamment mouillées, réduisant ainsi la résistance. Dans la mesure du possible, ces problèmes n’avaient généralement pas beaucoup d’importance compte tenu de l’efficacité de la maison. Cependant, les imperfections de moulage ont rendu ces coques auparavant plus sujettes aux cloques osmotiques, bien que si elles étaient traitées à temps, les zones affectées pourraient être meulées, chargées et carénées. De nombreux yachts de croisière et bateaux de travail ont été construits de cette manière jusque dans les années 1990. Cependant, il est rapidement devenu clair que les bateaux de course bénéficieraient de bien meilleures solutions et au début, deux développements y ont contribué. Un seul fut l’avènement des mèches tissées, dans lesquelles des brins de fibres considérablement plus longs sont emballés ensemble et posés en parallèle. Cela aide à gérer des voies de poids spécifiques beaucoup plus efficacement que l’orientation aléatoire des fibres de tampon à brins coupés et nécessite moins de résine, ce qui réduit encore le poids. Des rovings biaxiaux, avec deux groupes de brins à 90 degrés l’un de l’autre, étaient actuellement utilisés pour les yachts de course au début des années 70. Le matériau unidirectionnel, comme son nom l’indique, pinasse Arcachon a tout sauf une très petite partie des fibres fonctionnant dans une direction. Les matériaux bi- et tri-axiaux ont les matériaux disposés dans 2 directions ou plus pour fournir de bien meilleures propriétés tout circulaires. Les angles relatifs des fibres varient avec divers matériaux. Un tissu biaxial à 90 niveaux a des quantités équivalentes de fibres fonctionnant perpendiculairement les unes aux autres avec des qualités équivalentes dans chaque direction. Cependant, un tissu bi-axial à 45 degrés aura plus de résistance dans une direction, tout en gardant une meilleure puissance perpendiculaire qu’un matériau unidirectionnel.